mercredi 10 décembre 2014

L'utopie du changement


« L'utopie ne signifie pas l'irréalisable, mais l'irréalisé. L'utopie d'hier peut devenir la réalité. » Théodore Monod.

En France, on se questionne sur la suppression des notes à l'école pour une évaluation avec "bienveillance" pour nos enfants déprimés ainsi que sur la mise en « procédure exceptionnelle » du redoublement cachant un argument économique. En Finlande et dans 45 états Américains, on met fin à l'écriture cursive (en attachée) au profit de la seule écriture scripte afin de consacrer l'acquisition de l'expression écrite principalement au clavier d'ordinateur ou de tablette...



Des millions de coquilles Saint-Jacques péchées et décortiquées en Bretagne partent en Chine pour un nettoyage en règle avant de revenir se faire garnir en Bretagne pour une question de coûts avec des différences de salaires des ouvriers qui vont de 1 à 100. Au Vietnam, le « Panga », poisson d'élevage désormais de culture industrielle et intensive est nourri par des farines d'origines et de composition diverses et peu contrôlées (hormones, médicaments, déchets de poissons). Un nouveau poisson littéralement "lancé" sur le marché mondial, qui supporte une densité record, et qui grandit très vite, dans une eau à 28 degrés. Une industrie qui fait vivre des milliers de familles, mais qui est également très polluante et énergivore...

« La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat. » Friedrich Nietzsche

Alors que l'épuisement au travail pèse pour plusieurs milliards d'euros en dépenses sur le régime général de la sécurité sociale, le burn-out pourrait bientôt être reconnu comme maladie professionnelle en France, avec des députés qui plaident pour qu'il soit à la charge de ceux qui en seraient responsables : les employeurs. Il s'agirait de faire basculer le financement sur la branche Accident du travail et maladies professionnelles financée par les cotisations patronales à 97 %. Ne pas résoudre, mais déplacer les problèmes...

Tout comme celle des plus pauvres, la population des riches ne cesse d'augmenter dans le monde avec 211.000 « ultras riches » qui détiennent 13 % de la richesse mondiale ou encore près de la moitié de cette richesse qui est détenue par 1% de la population. Un écart persistant qui est pourtant considéré comme le risque susceptible de provoquer les dégâts les plus graves dans le monde au cours de la prochaine décennie...

« Comme si tout grand progrès de l'humanité n'était pas dû à de l'utopie réalisée ! Comme si la réalité de demain ne devait pas être faite de l'utopie d'hier et d'aujourd'hui... » André Gide

Les principaux responsables politiques et au-delà de cela, la politique en elle-même, est sur une pente savonneuse, d'après le dernier baromètre de confiance près de 9 Français sur 10 n'ont pas confiance dans leurs dirigeants et 69 % des personnes interrogées estiment que la démocratie en France ne fonctionne pas très bien ou pas bien du tout. Une désillusion de la démocratie qui implique une montée de l'extrémisme religieux et l'adhésion toujours plus forte aux thèmes des politiques extrémistes: confiance ni en la gauche ni en la droite, trop d'immigrés en France ou encore pour le rétablissement de la peine de mort...

Dans le monde entier, les femmes subissent des violations de leurs droits, parce qu'elles sont femmes. Des femmes au sens biologique, mais surtout au sens social. Entre autres exemples en Inde, le code de la route ne s'applique pas aux femmes, en Afghanistan, elles ont l'interdiction de se maquiller, au Yémen, elles ne peuvent quitter la maison sans permission de leur mari, en Arabie Saoudite et aux Maldives les victimes de viols peuvent être inculpées pour « fornication » et dans l'Arkansas un mari a le droit de taper sa femme, mais seulement une fois par mois...

« Quand une multitude de petites gens dans une multitude de petits lieux changent une multitude de petites choses, ils peuvent changer la face du monde. » Erich Fried

À compter du 1er janvier 2015 à Paris, interdiction de faire du feu de bois et d'utiliser votre cheminée comme système de chauffage principale alors qu'il s'agit d'une énergie renouvelable dont on nous vante les mérites depuis bien des années et que les chaudières au fioul par exemple sont bien plus polluantes...

Imbroglio écologiste avec l'éradication du carburant Diesel alors que certains affirment que les moteurs essences consomment plus que les diesels et émettent plus de gaz à effet de serre ou d'autres que les véhicules à essence émettent trois fois moins d'oxydes d'azote. On pourrait aussi affirmer que grâce à la prolifération future et toujours hypothétique des voitures électriques cela engendrera le maintien des centrales nucléaires, voire l'augmentation de leur nombre en raison du besoin supplémentaire en énergie...

La planète qui monte en température et la banquise qui recule, avec une accélération notable des phénomènes climatiques au cours de la dernière décennie. Pourtant les reportages ou films apocalyptiques pullulent depuis pas mal d'années et les analyses des grands pontes mondiaux du climat nous alertent sans cesse. Ou comment passer de la fiction à la réalité en totale conscience du chaos à venir...

« La difficulté n'est pas de comprendre les idées nouvelles, mais d'échapper aux idées anciennes. » John Maynard Keynes


Voici un condensé des changements qui s'opèrent actuellement si l'on en croit les médias. Le changement est nécessaire, voir indispensable, non seulement pour la survie de l'humanité, mais aussi pour s'adapter aux nouvelles donnes économico-sociales mondiales. Mais pourquoi faire du rien un tout et du tout un rien... On nous dit tout et n'importe quoi... On ne sait plus qui croire ou comment faire pour croire encore en quelque chose.

Quand prendrons-nous conscience qu'il faudra bien un jour s'arrêter et poser sur la table les chiffres, les faits et les vérités ? Conscience que si on ne fait rien ou si on fait, mais en le faisant faussement, on file droit dans un mur. Conscience que l'humanité n'est pas sud et nord, blanche ou noire, gauche ou droite, croyants ou athées, riches ou pauvres, mais d'une diversité incommensurable de sociétés, de civilisations et de cultures. La fiction d'un monde uni pour sauver notre terre sera-t-elle enfin une réalité plutôt qu'une utopie cinématographique artificiellement rassurante.

« L'utopie est à l'horizon. Je fais deux pas en avant, elle s'éloigne de deux pas. Je fais dix pas de plus, elle s'éloigne de dix pas. Aussi loin que je puisse marcher, je ne l'attendrai jamais. À quoi sert l'utopie ? À cela : elle sert à avancer. » Alvaro Malaina


Caïn
Création et compilation d'articles du web

sources : www.lexpress.fr / www.europe1.fr / www.intellego.fr / www.actu-environnement.com / www.lefigaro.fr / www.20minutes.fr

mardi 10 juin 2014

Une pentecôte sans facebook


Aujourd'hui 4ème jour sans Facebook... 
96ème heure sans connexion au plus grand réseau social au monde... 
5 760 minutes sans liker, sans commenter, sans partager... 
345 600 secondes sans une seule publication sur mon mur... 
Je vais bien...

Vendredi soir, épris d'un ras-le-bol intérieur à la surinformation inutile, à un trop-plein de données sans réels intérêts, à une lassitude de connaître mieux la vie des autres que celle de ma propre famille, je décide de faire une pause, stop ! Sur mon iPhone, j'ai carrément prix mon courage à un doigt et j'ai fait glisser vers la droite l'écran d'accueil pour le déverrouiller puis, sans hésiter une seconde, après un appui long sur l'icône de l'appli bleue et « f » blanc, je tapote sur la petite croix en haut à gauche du pictogramme tremblant et moribond qui s'efface alors faussement de mon smartphone... De suite, une sensation d'inoccupé m'envahit, un arrêt brutal de la connexion, un fil coupé avec mon petit monde virtuel. Un trou noir dans mon téléphone. Vais-je bien...

Le temps passe, je m'occupe comme je peux, préparation du repas pour les petits, je gère le linge, je nettoie rapidement la cuisine. Rolland Garros à la télévision m'aide à me changer les idées, je prends mon whisky coke quotidien et allume ma seizième cigarette de la journée. D'un coup, sans prévenir, à peine installé dans mon canapé, ça arrive... J'ai envie sans m'en rendre compte de prendre mon portable et d'y aller, cliquer machinalement sur l'endroit où l'icône se trouvait il y a peu et voir si un petit nombre m'indique de nouvelles notifications: si quelque chose a bougé, si quelqu'un a fait, dit ou partagé sur le réseau ; savoir si moi, qui ne fais rien, je le fais comme les autres ou si eux, font ce que je ne fais pas. Je me rends compte qu'une autre addiction latente, fourbe et presque invisible, est bel et bien présente en moi. Je ne suis pas bien...

Ce n'est pourtant pas la première fois que je reste quelque temps sans y aller... En vacances, j'avais déjà plusieurs fois passé pas mal de temps sans aucune connexion. Évidemment pas au dernier été car la 3G passait bien et alors que nous partagions, à plusieurs familles, une villa dans le Sud de la France, chacun dans notre coin nous publiions des photos et vidéos de conneries faites près de la piscine. Nous montrions au monde que nous passions de bons moments et nous voulions être les seuls à la faire ou du moins, à le faire aussi bien. Des idioties que chacun d'en nous likions puis partagions sur les comptes des uns et des autres en les commentant alors que nous nous trouvions pourtant au même endroit au même moment, prenant part au même événement. Allions-nous bien...

Il est tard, je décide d'aller me coucher et de lire un peu sur cet ancêtre qu'est devenu le livre papier. Je sens sur le bout de mes doigts non pas la froideur de la surface lisse et graisseuse de mon écran de téléphone, mais la chaleur et la texture tellement réelle du papier. Les pages défilent et l’image de celles-ci me donne comme à chaque fois l'impression d'avancer, d'aller quelque part, de cheminer dans l'espoir. Je ne suis pas perdu dans une masse d'informations, mais conduit dans un récit, tout en me laissant le libre choix de l'adapter à ma propre représentation. Je ne suis pas dirigé, mais transporté ; sans doute que le livre m'a aidé à me rendre compte de tout ce qui m'arrivait. Pas de pages de publicités orientées selon mes dernières navigations sur le web - pour me vendre un produit que je viens justement d'acheter - discrètement imposées au coin de mon champ de vision. Pas d'invitation à un jeu débile et gratuit tout autant addictif. Pas d'événements annoncés où ne verra pas la moitié de ceux qui se seront pourtant avisés d’un « participe à ». Des caractères simples, noirs, qui me parlent et qui petit à petit me racontent quelque chose. Je découvre une histoire, je la vis et j'entre en elle grâce à ma personnalité. Je vais bien...

Je me réveille tôt et enfilant un café, de suite, le réflexe de désactiver le mode avion sur mon mobile et, comme souvent, d'aller jeter un œil sur le réseau pour voir un peu ce qui s'est passé pendant mon absence, aurais-je loupé quelque chose. Toujours ces mêmes nombres dans leurs ronds rouges qui apparaîtraient et m'apporteraient, on me le fait croire, la satisfaction de faire partie de quelque chose. Impossible l'application n'est plus là, j'avais oublié... Je déjeune tranquillement, mais il persiste encore ce manque... La journée passe étonnement vite, je profite de mes enfants, de ma femme, du temps qui s'écoule dans la vraie vie. Nous partons faire une longue balade à vélo en famille pendant plusieurs heures. Je me rends compte que je n'ai pas emporté mon téléphone. Je vais bien...

Pendant tout le reste du weekend pas de nouvelles de mes « amis ». Il fait beau alors j'imagine des publications de certains en train de danser dans une soirée à 9 heures du matin. D'autres devant un barbuc se prenant en selfi un verre de rosé à la main à 23h. Une connaissance publiera dimanche un post à 19h13 sur la victoire de Nadal à Rolland Garros, victoire qu'il s'attribuera en se congratulant grâce à ses origines espagnoles alors qu'il n'a plus touché une raquette depuis dix ans. Un autre, encore, partagera lundi matin un article relatif aux gros orages qui se seront abattus dans sa région et un de ses contacts commentera à l'aide d'une photo prise dans son jardin avec son smartphone où deux gros grêlons bien à lui seront postés fièrement pour montrer qu’il participe lui aussi. Il n’y aura rien sur la Syrie et la dizaine de nouveaux enfants massacrés devant leurs parents dans un village au sud d'Alep. Rien sur le seuil d'information pour cause de pollution à l'ozone qui a été dépassé pour la première fois depuis le début de l'année, dans les Alpes-Maritimes. Rien sur la journée de l’Europe du 9 mai totalement oubliée alors que son peuple vient de voter pour une montée des partis nationalistes jamais connue jusqu'alors. Heureusement, une vidéo sur l'avion totalement immobile de l'équipe de France de Football sur le tarmac de l'aéroport de Lille en route pour le Brésil, avec l'analyse d'un spécialiste en nutrition sur la façon dont les joueurs devront se comporter pendant le voyage pour éviter le jetlag et sur la météo qu'ils auront pendant le trajet, sera aimée plus de 25 252 fois, partagée plus de 8 408 fois. Un document édifiant qui m’apportera une manne d'informations essentielles sur la société qui m'entoure... Allons-nous bien...

La nuit tombe et je me rends compte de tous ces bons moments vécus depuis trois jours avec ma famille. Je me dis que j'ai sans doute passé l'un des meilleurs weekends depuis des mois. Face à moi-même et avec les miens, toujours présent au lieu de perdre mon temps, si court soit-il, à savoir ce que les autres ont fait et tout en ayant l'impression de savoir ce que moi, j'ai accompli. Rien de spécial pourtant, aucun événement notable ou d'invités, ne partageant plus de l'information mais du vécu. Commentant une remarque de ma belle-fille sur la souplesse de ses cheveux, aimant un sourire attendri de mon petit dernier au moment de son coucher, appréciant le temps que mon grand avait su prendre avec nous plutôt que de rester scotcher devant son pc - reproche que je me permettais de lui faire - admirant la beauté de ma femme en train de s'allonger prêt de moi. Je vais très bien...

Après ce long pont, j'arrive au bureau de bon matin. J’allume comme d'habitude mon ordinateur et clique direct sur Outlook pour recevoir les mêmes messages que j'avais déjà réceptionnés sur mon mobile pendant le weekend et dont certains m'informaient de l'activité fleurissante et non consultée sur mon compte Facebook. Je lance Google pour contempler les comptes de ma société mais sur la page d'accueil, à côté du logo de ma banque j'aperçois dans la barre des raccourcis encore ce « f » blanc engoncé dans un carré fond bleu trop petit avec juste à côté « Bienvenue sur Face... ». Comme un automate, je dirige la souris vers celui-ci pour cliquer dessus ! Je m'arrête juste avant, je me dis que grâce à l'éternel clic droit, je vais supprimer de ma vue ce favori et ne pas être tenté d'aller voir d’un coup tout l'historique d'un long weekend ensoleillé sans aucun doute empli de nombreuses nouvelles et mettre ainsi à mal tous les efforts réalisés depuis 4 jours. Je ne fais rien, je le laisse là face à moi comme un défi à mon addiction, une empreinte de ma volonté à lutter contre lui, une victoire sur Mark Zuckerberg. Je suis bien...

En fait, nul besoin d'être aussi tranché, à l'instar de l’orientation dissimulée imposée par ce réseau, pourquoi ne pas plutôt l'utiliser à mon tour et pouvoir bientôt, dans quelques jours lorsque je serai guéri, profiter de ce que je souhaite obtenir de lui. L'utiliser comme ma télévision ou ma radio que j'allume et j'éteins au gré de ma volonté et de mes choix et non celui du fantôme télévisuel passéiste qui laisse en permanence allumé son écran, pour lui aussi avoir l'impression de faire partie de quelque chose. Pourquoi ne pas, après un sevrage nécessaire au vue des difficultés rencontrées pendant ces quelques heures, profiter du partage d'informations, si futiles, soient-elles. Lire ce qui me semble intéressant d'être lu, partager ce qui me semble bon d'être partagé, et cela, même si la plupart de ceux qui auront cliqué sur j'aime auront oublié une heure après pourquoi il l’avait fait. Pourquoi ne pas de temps à autre me balader et analyser ce que je vois en prenant le recul nécessaire à la notion superficielle et mercantile de ces réseaux, qu'il est, j'en suis sûr, possible d'utiliser plutôt que d'être utilisés. Dire par moment que je suis simplement bien et partager moi aussi de l'insignifiant. Puis parfois, exprimer mes convictions et opinions avec ce formidable outil de partage au risque de les perdre dans les millions de données par seconde qu’il engloutit. Ne plus être dépendant, mais émancipé. Ne pas sous-estimer son addiction et se rendre simplement compte que, même si beaucoup d'entre nous ne le voient pas, les réseaux sociaux sont une drogue dont il faut se protéger. Je vais bien...

Je vais publier cet article sur mon blog ce soir là où il me semble que moi seul décide de ce que je peux y mettre et de ce que l'on peut y voir. Pas de publicité selon mon souhait, pas d'informations des autres selon mon souhait. Juste moi et mes pensées échangées bien souvent sans effet. En dessous de mon article j'y apercevrais l'inévitable logo et sans doute que je cliquerai dessus pour partager mon article sur le mur de mon compte Facebook associé. Je ne saurai rien de l'effet qu'il aura sur vous. Si vous le likerez, si vous le commenterez, si vous le partagerez. Je ne sais pas ce qu'il adviendra de lui sur le réseau, car je n'irai pas le voir. Alors je serais bien. Combien de temps?

Caïn
Article inspiré de faits réels.

mardi 20 mai 2014

Vital patron robot



Cela a tout d’un début de film de science-fiction, ce moment où tout va encore pour le mieux entre l’homme et les machines…

A Hong Kong, Deep Knowledge Venture, une société spécialisée dans la gestion des dons à haut risque, impliquée dans des sociétés privées et publiques des secteurs de la lutte contre le cancer, de la médecine régénérative et des traitements personnalisés, a nommé le 13 mai 2014 dans son conseil d’administration un robot appelé Vital (Validating Investment Tool for Advancing Life Sciences - outil de validation pour les investissements dans la recherche scientifique). Il en sera son sixième membre...

En réalité Vital est un un algorithme qui siégera donc aux côtés d'êtres en costume, vivant et surement diplômés d'universités prestigieuses. Même si Vital n’assistera pas littéralement aux reunions, il n’y aura plus de décision prise sans avoir reçu son opinion sur les résultats de ses recherches, qui sera aussi importante que l'avis d'un autre membre du CA.

La mission de Vital, sera donc d'analyser les résultats prévisionnels, les premiers tests de médicaments, la disponibilité des brevets et les levées de fonds précédentes des sociétés dans lesquelles DKV envisage d'investir.

Sorte de robot incorruptible qui vante une fiabilité extrêmement élevée, depuis qu'il a commencé à être testé, Vital a pourtant déjà approuvé deux investissements, qui se sont trouvés, à chaque fois, très proche de lui : Une entreprise qui développe des méthodes de recherche assistée par ordinateur dans le domaine de la lutte contre les effets du vieillissement et une autre qui a créé une plateforme logicielle capable de choisir et d'évaluer des traitements personnalisés contre le cancer...

Après quelques jours seulement, la société affirme que grâce au sixième membre du conseil d'administration, les perspectives offertes pour la gestion de portefeuille sont immenses. Le logiciel permet d'accélérer les vérifications lors d'une transaction et de voir des corrélations qui ne sautent pas forcément aux yeux des humains. Il n'est pas encore de la véritable intelligence artificielle, mais on s'en rapproche. Il prend ses décisions de façon totalement indépendante.

Caïn
Compilation d'articles

Sources : www.huffingtonpost.fr / www.lefigaro.fr / www.20minutes.fr

mercredi 23 avril 2014

La plus haute tour du monde (et Ben Laden père)


La course au plus haut gratte-ciel du monde repart de plus belle entre l'Arabie saoudite, la Chine et les Émirats arabes unis. Le prochain record devrait atteindre un kilomètre de haut.


Le terrain est prêt à Djeddah, en Arabie saoudite. le 27 avril 2014, le premier coup de marteau-piqueur sera donné pour y construire le plus grand gratte-ciel du monde, haut d'un kilomètre. Soit 200 étages, desservis par 59 ascenseurs et nécessitant 60 mètres de profondeur de fondations. 

La société chargée du chantier de cette «Kingdom Tower» n'est autre que le Ben Laden Group, grande entreprise de BTP fondée par le père d'Oussama Ben Laden.

Le groupe familial devrait ainsi pourvoir, d'ici cinq ans, se vanter d'avoir érigé un édifice de 170 mètres plus haut que l'actuel détentrice du record, la Burj Khalifa à Dubaï, qui culmine à 828 mètres. La Kingdom Tower dépassera également la Sky City chinoise dont la construction a débuté en juillet dernier à Changsha.

Au delà de son budget fou (1,23 milliard de dollars, soit 890 millions d’euros), le groupe Laden et le cabinet d’architectes Adrian Smith + Gordon Gill Architecture, qui a conçu ce projet pharaonique, devront surmonter de nombreux défis techniques tels la prise au vent de ce kilomètre de 80 000 tonnes d'acier, la résistance aux eaux salées de la mer Rouge ou encore l'acheminement des matériaux à une telle hauteur, notamment le béton! Au sol, la tour aura également une impressionnante superficie totale de 530 000 m2 au sol.


La Kingdom Tower en chiffres
Hauteur : 1.000 mètres
Sperficie totale: 530.000 m2 
Acier : 80 000 tonnes
Beton : 500 000 0000 m3
Etages : 200
Ascenseurs : 59
Coût : 890 000 000 €
Durée des travaux : 5 ans
Livraison prévue : 2019



Caïn
Compilation d'articles

Sources : 
http://www.slate.fr/economie/86237/1-kilometre-haut-construction-plus-haut-gratte-ciel-monde-debute
http://www.lepoint.fr/immobilier/la-plus-haute-tour-du-monde-sera-construite-par-le-pere-de-ben-laden-23-04-2014-1815425_31.php
http://www.leparisien.fr/international/arabie-saoudite-le-pere-de-ben-laden-construit-la-plus-haute-tour-du-monde-21-04-2014-3784589.php

mercredi 9 avril 2014

Le Budget de l'Etat Français


Vous trouverez ci dessous le budget de l'état français seul.
Ne sont pas compris les collectivités territoriales, les établissements publics, les hôpitaux et la sécurité sociale.

Pour comprendre le fonctionnement du budget global français cliquez ici

Pour simuler les variations du budget selon divers facteurs cliquez ici


LE BUDGET DE L’ÉTAT VOTÉ POUR 2014


RECETTES FISCALES        298,17 Milliards d’€
1 - TVA (46%)
2 - Impôt sur le revenu (25% )
3 - Impôt sur les sociétés (13%)
4 - Taxes produits énergétiques et contributions fiscales (10%)
5 - Amendes, sanctions, pénalités et frais de poursuites (0,5 %)
6 - Autres recettes (5,5%) 


PRÉLÈVEMENTS SUR LES RECETTES DE L’ÉTAT        74,41 Milliards d’€
Prélèvements au profit des collectivités territoriales (18 %)
Prélèvements au profit de l’Union européenne (7 %)


Recettes nettes        223,75 Milliards d’€


DÉPENSES NETTES        309,21 Milliards d’€
1 - Personnel (40%),
Fonctionnement (16%)
3 - Dettes de l’état (14%)
4 - Investissement (12%)
5 - Intervention (21%)
6-  Opérations financières (5%)


SOLDE DU BUDGET         - 81,55 Milliards d’euros


Détail des missions des dépenses        407,368  Milliards d’€
1 - Remboursements et dégrèvements (25%)
2 - Enseignement scolaire (16%)
3 - Engagements financiers de l’État (12,5%)
4 - Défense (9%)
5 - Écologie, développement et mobilités durables (2,4%)
6 - Recherche et enseignement supérieur (7,7%)
7 - Sécurités (4,5%)
8 - Solidarité, insertion et égalité des chances (3,4%)
9 - Gestion des finances publiques et des ressources humaines (2,8%)
10Travail et emploi (2,8%)
11- Immigration, asile et intégration  (2%)
12- Égalité des territoires, logement et ville (2%)
13- Régimes sociaux et de retraite (1,6%)
14- Économie (0,9%)
15- Agriculture, pêche, alimentation, forêt et affaires rurales (0,8%)
16- Anciens combattants, mémoire et liens avec la nation (0,7%)
17- Action extérieure de l’État  (0,7%)
18- Aide publique au développement (0,7%)
19- Administration générale et territoriale de l’État (0,7%)
20- Culture (0,7%)
21- Relations avec les collectivités territoriales (0,6%)
22- Outre-mer (0,5%)
23- Direction de l’action du Gouvernement  (0,3%)
24- Santé (0,3%)
25- Pouvoirs publics (0,2%)
26- Médias, livre et industries culturelles (0,2%)
27- Conseil et contrôle de l’État (0,1%)
28- Sport, jeunesse et vie associative (0,1%)
29- Politique des territoires (0,1%)
30- Provisions (0,1%)


EMPLOIS INSCRITS AU BUDGET GÉNÉRAL        1 906 424 employés
1 - Éducation nationale (50,6%)
Intérieur (14,6%)
3 - Défense (14,5%)
4 - Économie et finances (7,7%)
5 - Justice (4%)
6 - Écologie, développement durable et énergie (1,8%)
7 - Agriculture, agroalimentaire et forêt (1,6%)
8 - Affaires étrangères (0,8%)
9 - Égalité des territoires et logement (0,7%)
10- Contrôle et exploitation aériens (0,6%)
11- Culture et communication (0,6%)
12- Affaires sociales et santé (0,5%)
13- Travail, emploi, formation professionnelle et dialogue social (0,5%)
14- Services du Premier ministre (0,5%)
15- Enseignement supérieur et recherche (0,5%)
16- Outre –mer (0,3%)
17- Redressement productif (0,1%)
18- Publications officielles et information administrative (0,05%) 

 Caïn
Retranscription et adaptation


Sources : http://www.performance-publique.budget.gouv.fr/fileadmin/medias/documents/ressources/LFI2014/Chiffres_cles_budget_Etat_LFI_2014.pdf
http://www.financespubliques.fr/

lundi 7 avril 2014

Le Génocide Rwandais en chiffres


"Génocide : Crime contre l'humanité tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux ; sont qualifiés de génocide les atteintes volontaires à la vie, à l'intégrité physique ou psychique, la soumission à des conditions d'existence mettant en péril la vie du groupe, les entraves aux naissances et les transferts forcés d'enfants qui visent à un tel but."


Le génocide rwandais aurait fait 1 074 017 morts
Seules 87% des victimes ont été identifiées avec certitude.
94% ont été tuées parce qu'elles étaient identifiées comme Tutsis.


Sur le plan humains :
15% de la population totale du Rwanda a été exterminée.
En 100 jours, 75% de la population Tutsie a été tuée soit 800 000 personnes.
99% des tueries ont eu lieu entre avril et décembre 1994.
54% des victimes étaient âgées de 0 à 24 ans.
41% des adultes âgés de 25 à 65 ans.
57% étaient des hommes et 43% des femmes.
4 millions de personnes se sont réfugiées vers les pays voisins.
Sur les 250 00 femmes violées en 1994, 20 à 30% seront séropositives.


Sur le plan socio-professionnel :
Les paysans viennent en tête des victimes avec 48%.
Le second secteur le plus touché est constitué des étudiants 21%.
Les enfants d'âge pré-scolaire et les vieillards de plus de 65 ans constituent 17% des victimes.


Sur le plan criminel :
La machette a été l'arme la plus meurtrière avec 38% des victimes, suivie des massues 17% et des armes à feu 15%.
Certaines femmes ont été éventrées ou violées, d'autres victimes ont été contraintes à se suicider, ont été battues à mort, jetées dans les rivières, les lacs ou brûlées vives. Des nourrissons et des bébés ont été, vivants, écrasés contre les murs ou pilés comme du manioc.


Sur le plan historique :
6 avril 1994. Quelques heures après l’assassinat 
du président rwandais. Le massacre des Tutsis commence à Kigali.
 21 avril 1994. Le Conseil de sécurité des Nations unies retire la majeure partie de sa mission au Rwanda, après la mort de dix casques bleus belges.
 22 juin 1994. La France ouvre 
une zone humanitaire pour les réfugiés. Le génocide 
des Tutsis continue, même dans la «zone de sécurité».
4 juillet 1994. Prise de contrôle de Kigali par 
le Front patriotique rwandais. En trois mois, 
des centaines de milliers de Rwandais sont exterminés sans que la communauté 
internationale ne réagisse.
 8 novembre 1994. L’ONU crée le Tribunal pénal international pour le Rwanda.
1995. Première plainte déposée en France contre un présumé génocidaire, une instruction est ouverte.
2014 Commémorations du 20e anniversaire du génocide.

Ces chiffres sont principalement tirés du bilan officiel publié par l'état rwandais. Selon le rapport, "le nombre des victimes de la tragédie rwandaise a donné lieu à des spéculations et reste sujet à controverse". Pourtant, que le bilan soit de 800 000, 900 000 ou 1 million de morts, ce Génocide reste une des plus grandes tragédies du 20e siècle. Personne ne conteste aujourd'hui le fait qu'un génocide barbare de grande ampleur a eu lieu en 1994 au Rwanda.

Caïn
Adaptation, création et retranscription

Sources : 

http://www.hirondellenews.com/fr/tpirrwanda/172-politiquesociete/10503-plus-dun-million-de-morts--bilan-officiel4318 
http://www.humanite.fr/monde/rwanda-alain-et-dafroza-gauthier-chasseurs-de-geno-557956
http://www.ensemble-rd.com/discrimination/les-genocides-du-xxe-siecle
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/rwanda/rwanda_2.html

vendredi 21 mars 2014

L'argus des communes


L’Association Contribuables Associés lance un nouvel outil sur son site :
"L’argus des communes"

En quelques secondes, découvrez l'état des finances de votre commune grâce à cet outil indispensable pour interpeller les candidats aux élections municipales et voter en connaissance de cause !

L'argus couvre l’ensemble des 36 700 communes françaises et permet donc à tous les citoyens de connaître l’état des dépenses de leur commune.

Un outil indispensable pour que la diminution de la dépense publique soit au cœur des débats lors des prochaines élections municipales de 2014.

Votre maire se comporte-t-il en gestionnaire averti ou dilapide-t-il sans compter l’argent de vos impôts locaux ? Dépense-t-il plus que les autres maires ?

Saisissez votre code postal puis choisissez votre commune. Si vous le souhaitez, consultez des fiches détaillées disponibles pour approfondir le sujet...


Sources: 
http://www.contribuables.org/argus-des-communes/
http://unionrepublicaine.fr/largus-des-communes-pour-tout-savoir-de-la-gestion-de-votre-mairie/

mardi 18 mars 2014

Pourquoi voter ?



Les élections municipales sont organisées les dimanches 23 et 30 mars 2014. Elles sont destinées à renouveler l'ensemble des conseils municipaux (et conseillers communautaires pour les communes de plus de 1000 habitants) dans les 36 682 communes françaises.

On le voit parfaitement ces derniers jours, l'abstention de masse pointe à nouveau le bout de son nez, voter ne semble pas être une démarche automatique et utile pour les citoyens Français : « Ça ne sert à rien ! Ils sont tous pourris de toute façon ! Gauche, droite, tous pareils ! À quoi bon ? ».

Sur le sujet, chacun a le droit évidement d'avoir son propre point de vue. Le climat médiatique, ainsi que les diverses affaires du moment, poussent très certainement à un rejet du monde politique, et plus particulièrement, des hommes et femmes politiques en postes. Pourtant, et surement par la faute des partis majoritaires actuels, celles et ceux qui ont fait le choix d'être inscrits sur les listes électorales, et donc souhaiter donner leurs opinions, se trompent aujourd'hui d'élections.

Certes les municipales auront une influence sur l'échiquier politique national selon la répartition partisane globale qui se dessinera dimanche 30 mars. Mais, une élection municipale n'est pas une élection purement politicienne ou exclusivement celle des couleurs politiques.

En France, selon l'Insee seules 2,5 % des communes comportent plus de 10 000 habitants ! Soit, 97.5 % de municipalités comprises entre 0 et 9 999 habitants. 54,4 % sont des villages de moins de 200 âmes. 31,8 % sont compris entre 500 et 2000 personnes et 11,3 % se situent dans la tranche entre 2000 et moins de 10 000. Derrière cette écrasante majorité de 97,5% ce sont, pour la plupart, des hommes et des femmes qui donnent énormément de leurs temps, de leurs vies privées et de leurs cœurs pour aider leurs lieux de vie à exister, à évoluer, à avancer, et, de plus en plus, à tenir... Ils ont fait le choix de s'impliquer dans la collectivité et d'agir directement pour faire évoluer les choses. Leurs appartenances éventuelles à un parti influent au final que très sporadiquement sur la gestion quotidienne des communes. 

Le conseil municipal représente ses habitants avant toute chose. Il vote le budget, approuve le compte administratif, il est compétent pour créer et supprimer des services publics municipaux, pour décider des travaux, pour gérer le patrimoine communal, pour accorder des aides favorisant le développement économique. Le maire et ses conseillers ont en charge le rôle d'officier de l'état civil, officier de police judiciaire, ministère public près le tribunal de police, autorité administrative subordonnée, magistrat de la commune. Ils s'occupent de la gestion du personnel communal, des établissements publics, des polices municipale et rurale, des mesures conservatoires et des délégations éventuelles.

Gérer une commune, c'est aussi agir à la revitalisation de votre municipalité, construire des logements sociaux, traiter des questions relatives à l'environnement, au transport en commun, aux loisirs, aux activités sociales, culturelles, communautaires, etc.

Les élus réunis en conseil représentent la population. Ils prennent les décisions sur les orientations et les priorités d'action de la municipalité et en administrent les affaires. Le rôle du conseil municipal est de s'assurer que les services offerts par la municipalité répondent aux besoins de la collectivité.

Exercer son droit de vote revêt donc d'une grande importance. Les élus municipaux assument un grand nombre de responsabilités dans votre communauté. Si voulez que soit élu une candidate ou un candidat dont les orientations non pas seulement, politiques, mais aussi humaines, correspondent aux vôtres, saisissez l'occasion et participez au scrutin dans votre municipalité. Votre vote est l'expression de vos opinions et de vos besoins en ce qui a trait à la qualité de la vie de votre communauté. 

Ne pas voter, c'est ne pas vouloir que son avis soit pris en compte, c'est ne plus pouvoir donner son avis. Ne pas voter, c'est se décharger de ses obligations, de ses exigences. Ne pas voter, c'est oublier le partage, la solidarité, la communauté. Ne pas voter, c'est ignorer le passé, le présent, et le futur. Ne pas voter, c'est aussi sans doute,  s'ignorer soit même..."

Caïn
Adaptation, création et retranscription


Sources : 
http://www.20minutes.fr/elections/949517-abstention-pourquoi-irez-vous-voter-premier-tour-legislatives 
http://www.vie-publique.fr/actualite/faq-citoyens/faq-municipales-2014/ 
http://www.electionsmunicipales.gouv.qc.ca/je-vote/pourquoi-voter/ 
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=14&ref_id=popop023 
http://www.lecroisic.fr/mairie-2-36.html 

mercredi 12 mars 2014

First Kiss

De la timidité, de la gêne, de la concentration et une bonne cuillère de “mais putain, qu’est-ce que je fous là en fait ?” : la réalisatrice Tatia Pilieva a rassemblé 20 personnes ne se connaissant absolument pas. L’idée : les faire s’embrasser devant un fond gris, des lumières et quelques caméras pour un projet vidéo intitulé First Kiss. 

Le résultat est une tension omniprésente dans ce court à la fois drôle et hyper direct, dès lors que le premier pas est franchi. “C’est quoi déjà ton nom ?” peut-on entendre à la fin. À noter qu’une petite française se “cache” dans ces images : il s’agit de Soko. Et la chanson que vous pouvez entendre dans la vidéo, c’est la sienne : “We Might Be Dead By Tomorrow”.

Article de http://www.konbini.com/ 



Source : http://www.konbini.com/fr/inspiration-2/video-inconnus-first-kiss/

lundi 27 janvier 2014

Petits plans sociaux

Au total, 63.101 entreprises ont été en défaut de paiement ou soumises à une procédure de sauvegarde en 2013, soit une augmentation de 3% par rapport à 2012 (selon une l'étude de la société Altares publiée ce jeudi 16 janvier).

Chaque jour entre le 1er janvier et le 31 décembre, 172 sociétés ont fermé leurs portes.

On nous parle quotidiennement dans les médias des grosses entreprises qui licencient à coup de centaines d'emplois. Mais on oublie bien souvent que plus de 42.500 sociétés déclarées en faillite l'an dernier employaient moins de 2 salariés. Au total se sont 269 000 emplois de menacés par ces "plans sociaux".

Entre 2009 et 2013 les entreprises industrielles de grande taille étaient en ­difficultés. En 2013, ce sont les TPE et les PME qui paient la panne de la ­consommation des ménages.

Après cinq années de crise, beaucoup de ces entreprises rencontrent des problèmes structurels et pas seulement d'activité.

Les faibles taux de marge, voire les pertes, ont entraîné un manque de fonds propres. Elles manquent de trésorerie. La moitié est déficitaire en exploitation. Or, pour sortir des procédures juridiques de faillite, il faut prouver que la société possède les fonds nécessaires pour affronter l'avenir...


Caïn

Sources : http://echelledejacob.blogspot.fr/2014/01/effondrement-economique-btp-17649.html
http://www.crashdebug.fr/index.php/actualites-france/8125-les-faillites-a-un-niveau-record-en-2013-les-pme-particulierement-touchees